LE SYNDROME DU PAPILLON

NOTES DE PRODUCTION

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Premier des ventes one-man/woman show en France pendant plusieurs semaines, plus de 200.000 spectateurs conquis sur quelques dates, le spectacle Le Syndrome du Papillon – Version Zenith d’Élodie Poux est un succès ! Et pour cause, le spectacle dans sa version classique n’a fait que monter les échelons sur plus de 700 représentations. L’ascension de l’humoriste sur scène, à la TV dans « Scènes de ménage » sur M6 ou Masksinger sur TFI, l’emmène à produire de plus grandes salles. La tournée des Zenith est alors programmée pour Janvier à Avril 2025 puis, fort du succès, se prolonge de Novembre 2025 à Mars 2026. Dans ce one-woman-show, Élodie Poux partage son parcours atypique, passant de son ancien métier d’animatrice périscolaire à la scène. Elle y incarne une galerie de personnages hauts en couleur offrant un spectacle énergique avec une légèreté et un humour irrésistible, abordant anecdotes personnelles, critiques sociales déguisées et autodérision.

C’est en mettant en scène Michel Frenna, futur co-auteur et producteur du spectacle, qu’Antoine Lhonoré-Piquet rencontre Elodie Poux en 2014. Vidéaste occasionnel sur le premier spectacle, il devient son créateur de contenus vidéos réseaux sociaux sur la tournée 2023-2024 avant de se voir proposer la création des médias, la scénographie puis la direction artistique de la Version Zenith. Avec l’envie d’offrir quelque chose de différent au public et d’élever le spectacle au rang de show, il imagine toute une scénographie en combinaison de textiles permettant, selon les éclairages, de passer d’un décor théâtral intimiste à des tableaux immersifs imposants. Pour rappeler le sujet du spectacle d’Elodie qui prend son envol et devient papillon, il fait découper deux chrysalides de 7 mètres de hauteur qui peuvent se fondre dans les tableaux. Il crée notamment quelques décors physiques et des combinaisons videos/lumières qui transforment la scène en véritable palais royal ou Comédie française. Enfin, pour attirer l’œil du spectateur d’abord sur Elodie plutôt que sur les écrans, il choisit de placer les vidéos de retour sur scène, rentrés avec un angle de 130°, camouflés derrière des voilages et avec des valeurs de plans qui ne changent pas pendant les sketchs. Ainsi les effets de lumière, les projections en live de l’humoriste, les vidéos de décors, le son et les décors physiques cumulés soutiennent une scénographie fluide et impose un univers à la fois intimiste et féminin.