NOTES DE PRODUCTION

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Le choix de travailler avec Nathan Waye, danseur professionnel de break dance, en situation de handicap (en fauteuil roulant) permet de véhiculer ce message fort: quelque soit la différence ou le handicap, il faut croire en ses rêves ! À travers de nombreuses rencontres riches en rebondissements, le spectacle amène les enfants à prendre conscience des embûches que l’on peut trouver sur le chemin de la vie… et comment les dépasser pour grandir ! La compagnie Magali Lesueur (CML) est engagée depuis 2012 dans des actions pour la prévention de la rupture sociale et pour la citoyenneté. Elle développe cette fois-ci son travail chorégraphique dirigé vers un jeune public à partir de 4 ans. Avec « POMMES D’AMOUR » la CML s’implique dans un processus d’éducation artistique et culturelle dans lequel la transmission et l’interaction ont une place primordiale. La dimension pédagogique et éducative de ce projet se développe notamment avec des résidences d’artistes en milieu scolaire mais aussi avec des actions culturelles menées dans les différentes académies de l’éducation nationale. Il s’agit d’utiliser la danse, la musique, la chanson comme outils de réflexion afin de développer le sens critique des enfants, sensibiliser au spectacle vivant, prendre conscience des dangers liés aux thématiques que nous abordons.

Pommes d’amour parle d’égalité, de handicap et de tolérance. Le choix de travailler avec Nathan Waye, danseur professionnel de break dance, en situation de handicap (en fauteuil roulant) rejoint l’idée de véhiculer des messages forts : quel que soit la différence ou le handicap, il faut croire en ses rêves et rester unis. Afin de donner une dimension onirique à la scénographie de Magali Lesueur, Antoine Lhonoré-Piquet, avec le soutien et le regard d’un enfant de 10 ans, Vincent-Camille Olivieri-François, a créé des tableaux visuels colorés. A base de compositions de dessins de fête foraine et l’apport d’éléments mouvants, comme un train sur rails, les battants d’un moulin et le tour d’un carrousel, les décors rétroprojetés donnent au spectacle une dimension féérique et plonge l’enfant dans le rêve du spectacle vivant.